Cosmétique Mag Hebdo #4 Quelle évolution pour le secteur cosmétique ?

blog 8 | Ataway, spécialisée dans le management en cosmétique.
Le marché hexagonal de la cosmétique ne devrait pas retrouver son niveau d’activité, celui de 2019, soit pré-Covid, avant 2022. Le point sur la question !

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Créé il y a huit ans par Thierry Kuntz, ataWay management est un cabinet de management et de conseils
spécialisé dans l’univers cosmétique.
Thierry Kuntz s’est entouré d’une équipe pluridisciplinaire ayant plus de vingt ans d’expérience, on peut d’ailleurs parler de « supers consultants » de ce secteur. Le cabinet s’appuie sur les compétences et l’expérience de cette équipe pour proposer un accompagnement sur les métiers du management.

PORTRAITS AU STUDIO GOVIN SOREL | Ataway, spécialisée dans le management en cosmétique.

des situations très disparates 

Le marché hexagonal de la cosmétique ne devrait retrouver son niveau d’activité de 2019, soit pré-Covid, qu’en 2022. Pendant cette période de pandémie, les comportements d’achat et les habitudes des consommateurs ont été modifiés et les entreprises du secteur doivent aujourd’hui s’appuyer sur des tendances innovantes pour reprendre leur ascension. Cependant si on occulte cette sombre année 2020, le secteur de la cosmétique est en constante croissance depuis plus de dix ans. Avec 4 % de croissance en moyenne par an, c’est un écosystème en plein développement qui doit en partie ces résultats encourageants à l’arrivée de nouveaux consommateurs. L’accroissement naturel de la population mondiale entraîne par là même autant de nouveaux potentiels consommateurs. Ces derniers sont sur-représentés dans les BRICS d’abord où les populations aspirent aux standards de consommation des pays occidentaux. Côté société, deux groupes sociaux tirent le marché : les adonaissants et les baby-boomers qui demandent aux marques de créer des produits dédiés à leurs besoins spécifiques et à leurs
générations. Le secteur connaît toutefois des situations très disparates, et même s’il se montre résilient, les petites entreprises restent très fragiles.

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